REPRODUCTION
        L’ARUI , LE MOUFLON OU oudaden  vit généralement en petit groupes  familiaux, composés
             La gestation dure 154 à 161 jours  la femelle met-bas  d’un ou de deux agneaux (assez souvent deux), en  un endroit bien abrité, choisi à l’avance. dés le premier jour ,  le nouveau -né  est capable  de se mettre sur  pieds et suivre  sa mère sur les terrains les plus escarpés, mais  généralement , cette dernière s’isole  pendant  une semaine environ pour s’occuper de  sa progéniture a ce propos , il ya lieu de signaler  le grand instinct  d’affection développé chez cette espèce ( beaucoup plus  que  chez les moutons). Les petits suivent leur mère  partout elle les défend farouchement en cas de danger : ceux -ci  sont nourris du lait maternel pendant quatre mois  environ. À ce moment  les cornes commencent à pousser. Ils ne deviennent adultes qu’au  bout  de trois ans  et peuvent vivre jusqu’à 15 ans. Après sa naissance, le futur mouflon ne commence à se nourrir en herbe qu’au bout de 25 jours environ.Il ya  lieu d’insister ici sur la vie grégaire de ces animal, par ailleurs, timides et peureux. Leurs dangers principaux, depuis  que   leurs principaux  prédateurs ont disparu, le doivent surtout de l’homme. Aussi  bien au repos qu’au pâturage, le plus vieux  du troupeau prend généralement la garde en se postant à l’extrême bord d’un rocher  pour surveiller  les alentours .si le danger lui parait imminent , il émet un  son nasal particulier qui est un signal  de fuite dés  qu’il  l’entend , le troupeau en entier se sauve  à toute vitesse . C’est seulement  lors  des  ruts, quand le male part sur les chemins à la  recherche  des femelles  que  cette méfiance diminue. C’est  à ce moment  que les pièges  lui sont tendus sur les  sentiers et peut être capturé  aisément. Les professionnels du braconnage   .

d’un male et d’une femelle adulte et de leurs petits d’âges variés. La période  des accouplements qui peut commencer  tôt en octobre  donne lieu à de furieux combats entre les males, chefs de troupeaux après  avoir écarté les plus jeunes et les faibles. ils se heurtent l’un sur l’autre tète baissée, au point que nous  nous demandons  ce qu’il a  lieu d’admirer le plus chez ces animaux, le courage des adversaires, ou la solidité de leurs cornes. Il n’est pas  rare  d’entendre  à ce moment, les montagnes résonner de ces chocs …

Aujourd'hui sont déjà 1 visiteurs (1 hits) Ici!
Ce site web a été créé gratuitement avec Ma-page.fr. Tu veux aussi ton propre site web ?
S'inscrire gratuitement